#25 Règle N°3 – De la #Postvention : voir plus loin que le bout de son nez !

Dans l’open space déconfiné FORHUMAN, une sorte de hiérarchie s’opère entre ceux qui disent avoir été exposés à la crise et ceux qui se sont sentis davantage spectateurs d’une situation subie. Les alliances nouvelles transcendent les groupes qui étaient jusque là constitués. Kevin et Jean-Claude qui s’ignoraient jusque là sont les hérauts improbables des « victimes directes de la crise ». Ils réclament un soutien sonnant et trébuchant à la direction et clament que les autres ne peuvent pas les comprendre.

La tentation serait grande de proposer des solutions là où la crise semble avoir frappé dans une volonté de réparer ce qui doit l’être, tout en considérant que les autres, épargnés de la crise, ont suffisamment de ressources pour y faire face. Or, en matière de #Postvention, il est bon de voir plus loin que le bout de son nez.

 

La #Postvention repose sur un principe d’intervention communautaire qui vise à impliquer toutes les dimensions du collectif ou de l’organisation.

Cela signifie qu’une crise génère du nouveau, positif ou négatif, et que cette nouvelle matière va créer les conditions du maintien de la crise ou de la résilience.
Les démarches de hashtag#Postvention nous invitent à identifier notamment les nouvelles opportunités (Besoins) et les nouvelles vulnérabilités (risques). Mais, surtout, la #Postvention réclame une guidance et une pédagogie qui permettront à l’organisation de comprendre les enjeux et les effets de la crise pour les inclure ensuite dans sa stratégie. Nous parlerons alors de la Réceptivité de l’entreprise.

>> Découvrez le modèle du RBR (risques/besoins/réceptivité) et la manière dont nous l’évaluons dans notre questionnaire #Postvention lors de notre webinar spécial le 28 mai prochain avec Patrick Charrier, PhD et RICHARD LAVERGNE (offre dans la limite des places disponibles).

 

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